fr / en

  • Calendrier
  • En cours
  • À venir
  • Publics
  • À propos
  • Publications
  • Informations pratiques
  • Archives Bétonsalon
  • Villa Vassilieff
  • Newsletter
  • Rechercher
  • Colophon
  • Facebook
  • Twitter
  • Instagram
  • Bétonsalon - centre d'art et de recherche

    9 esplanade Pierre Vidal-Naquet

    75013 Paris
    +33.(0)1.45.84.17.56
    Adresse postale
    Bétonsalon - centre d'art et de recherche
    Université de Paris
    5 rue Thomas Mann
    Campus des Grands Moulins
    75205 Paris Cédex 13
  • Frédéric Moser & Philippe Schwinger, Ce dont on sera dans l’avenir capable
  • Evénements
  • Les participants
  • Images
  • BS n°9
  • Frédéric Moser & Philippe Schwinger, Ce dont on sera dans l’avenir capable

    8 février - 26 mars 2011
    JPEG - 138.8 ko
    Vue de l’exposition de Frédéric Moser et Philippe Schwinger "Ce dont on sera dans l’avenir capable". Bétonsalon - Centre d’art et de recherche, Paris, 2011. Image : Aurélien Mole. Tapis de danse Harlequin DUO™

    Première expo­si­tion per­son­nelle du duo d’artis­tes suis­ses dans une ins­ti­tu­tion pari­sienne, Ce dont on sera dans l’avenir capa­ble accom­pa­gne le déve­lop­pe­ment du projet France, Détours initié par Moser et Schwinger en 2009. Les deux artis­tes « inter­ro­gent la France » par étapes, pour pro­po­ser une réflexion à partir de la ques­tion du vivre ensem­ble. L’expo­si­tion pré­sente l’épisode 1 réa­lisé à Toulouse en 2009 et sert de base à la créa­tion d’un espace de for­mu­la­tion autour du tour­nage simul­tané de l’épisode 2 à Pierrefitte, une copro­duc­tion de la Fondation Kadist et la société de pro­duc­tion L’âge d’or.

    Une per­for­mance sera filmée en amont de l’expo­si­tion et plu­sieurs rendez-vous cho­ré­gra­phi­ques seront donnés avec cinq dan­seurs per­for­mant dif­fé­rents sce­na­rii pos­si­bles pour des objets, des per­son­nes et des situa­tions ren­contrées à Pierrefitte. D’autres rendez-vous avec des acteurs impli­qués dans la réa­li­sa­tion de la série France, Détours cons­ti­tue­ront une tri­bune méta­pho­ri­que ima­gi­née par les artis­tes pour l’expo­si­tion.

    Les films de Frédéric Moser et Philippe Schwinger inter­ro­gent le pré­sent à partir de faits poli­ti­ques et sociaux issus de l’his­toire récente. Pour ce faire, ils remet­tent en scène les sour­ces de la réa­lité contem­po­raine, pour les placer dans le lieu de dis­cus­sion d’un conflit. Pour eux, la cons­truc­tion de la réa­lité est liée à la cons­ti­tu­tion d’un espace de prise de parole.

    La jeu­nesse qu’ils pré­sen­tent avec ses ori­gi­nes socia­les diver­ses ne confirme pas tout à fait les cli­chés que les medias et les poli­ti­ques essaient de créer. Moser et Schwinger sui­vent l’hypo­thèse de Jacques Rancière selon laquelle « le réel doit être fic­tionné pour être pensé. » Chaque situa­tion permet le ques­tion­ne­ment d’éléments fic­tifs asso­ciés à une réa­lité spé­ci­fi­que et à chaque fois, à l’aide de nou­veaux média­teurs, cette réa­lité est appro­chée d’une manière nou­velle. Les deux artis­tes réa­li­sent un tra­vail d’enquête de ter­rain et sol­li­ci­tent archi­tec­tes, socio­lo­gues, jour­na­lis­tes ou his­to­riens, afin de croi­ser les dis­cours et métho­do­lo­gies pour réa­li­ser leurs films.

    L’expo­si­tion Ce dont dans l’avenir on sera capa­ble se dérou­lera simul­ta­né­ment au tour­nage de l’épisode 2 de la série France, détours. Les deux artis­tes ont alors ima­giné leur expo­si­tion comme un outil pour penser la cons­truc­tion de l’épisode 2. Pour ce faire, ils ont sou­haité s’aven­tu­rer dans le champ cho­ré­gra­phi­que en ini­tiant une col­la­bo­ra­tion avec cinq dan­seurs issus de la for­ma­tion Essai du CNDC d’Angers. L’expo­si­tion déplie ce tra­vail per­for­ma­tif en trois tem­po­ra­li­tés entre­mê­lées inter­ro­geant le poten­tiel du passé, du pré­sent et de l’avenir contenu dans le titre Ce dont on sera dans l’avenir capa­ble.

    L’expo­si­tion ima­gi­née par Moser et Schwinger met l’accent sur le tra­vail cho­ré­gra­phi­que comme un mode de tra­duc­tion pos­si­ble d’un pro­ces­sus de concep­tion parmi d’autres. Le pre­mier épisode de la série France, détours, un schéma élaboré par les artis­tes com­plè­te­ront l’expo­si­tion, qui sera également accom­pa­gnée d’une publi­ca­tion ren­dant compte de la génèse de l’invi­ta­tion faite à Moser et Schwinger.

    Nous remer­cions cha­leu­reu­se­ment : les artis­tes et par­ti­ci­pants de l’expo­si­tion, dan­seurs et per­for­meurs, les par­te­nai­res de l’expo­si­tion, la Galerie Jocelyn Wolff, la fon­da­tion Kadist, la société de pro­duc­tion L’âge d’or, l’AFPAD, Raïssa Kim, le col­lège Gustave Courbet, le Conseil Général de la Seine-Saint-Denis, la mairie de Pierrefitte-sur-Seine, et tout ceux qui de près ou de loin ont contri­bué à la réa­li­sa­tion de ce projet.

    Télécharger le dos­sier de presse et/ou télé­char­ger les photos de l’expo­si­tion

    JPEG - 131.9 ko
    Vue de l’exposition de Frédéric Moser et Philippe Schwinger "Ce dont on sera dans l’avenir capable". Bétonsalon - Centre d’art et de recherche, Paris, 2011. Image : Aurélien Mole. Tapis de danse Harlequin DUO™

    Cette expo­si­tion reçoit le sou­tient de :

    Fondation suisse pour la culture Pro Helvetia

    Depuis plus de 30 ans, la marque au logo repré­sen­tant l’Arlequin de la Commedia dell’arte, vêtu de son cos­tume à losan­ges bleu et rouge, est leader mon­dial en tapis de danse et plan­chers de danse, avec une pré­sence et une expé­rience uni­ques dans le monde de la danse. Lorsqu’il lance la marque Harlequin en Angleterre en 1979, Bob Dagger, le PDG actuel du groupe, entend rele­ver un défi : par­ve­nir à sur­mon­ter les dif­fi­cultés liées aux revê­te­ments tra­di­tion­nels en bois (dureté du sol, entre­tien dif­fi­cile, sols non trans­por­ta­bles, etc.).
    Plus de 30 ans après sa créa­tion, le groupe Harlequin est tou­jours le leader mon­dial en sols pour la danse, le spec­ta­cle et l’événementiel et confirme de jour en jour son slogan « The world dances on Harlequin floors ». Implanté en Angleterre, à Hong-Kong, aux Etats-Unis et en Europe conti­nen­tale, Harlequin pro­pose aujourd’hui une gamme de 9 tapis de danse très résis­tants et de 2 plan­chers de danse amor­tis­sants.

    Partager

    Archives Bétonsalon