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  • Bétonsalon - centre d'art et de recherche

    9 esplanade Pierre Vidal-Naquet

    75013 Paris
    +33.(0)1.45.84.17.56
    Adresse postale
    Bétonsalon - centre d'art et de recherche
    Université de Paris
    5 rue Thomas Mann
    Campus des Grands Moulins
    75205 Paris Cédex 13
  • Sarah Tritz, Capriccio cherche comtesse
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  • Evénements

    15/03/2008, 17h-21h
    Vernissage Capriccio cher­che com­tesse

    02/04/2008, 20h
    Clara Pacquet, doc­to­rante à l’EHESS
    Les capri­ces de Sarah Tritz
    Conférence

    Cette inter­ven­tion entend ques­tion­ner le tra­vail de Sarah Tritz au regard de la tra­di­tion pic­tu­rale du capric­cio. Le fonc­tion­ne­ment du caprice, son mode d’appa­ri­tion, les inter­ro­ga­tions plas­ti­ques qu’il sou­lève (les rap­ports du dessin et de la pein­ture avec la sculp­ture et l’archi­tec­ture, la com­bi­nai­son d’éléments dis­pa­ra­tes, la redé­fi­ni­tion ludi­que et joyeuse des fron­tiè­res entre fic­tion et réa­lité, privé et public, légè­reté et gra­vité), et enfin, la manière dont il engage à la fois l’artiste à l’œuvre, et le spec­ta­teur face à l’œuvre dans une opé­ra­tion de vivi­fi­ca­tion, offrent un point de départ inté­res­sant pour abor­der ses ins­tal­la­tions et les éléments récur­rents qui les cons­ti­tuent. Il s’agira donc de trou­ver un moyen terme entre, tout d’abord, une des­crip­tion de Capriccio cher­che com­tesse, et une pos­si­ble défi­ni­tion du capric­cio pour tenter d’ins­tau­rer un dia­lo­gue – quoi­que ana­chro­ni­que – entre les deux.

    9/04/2008, 20h
    Dominique Gilliot, artiste
    48°4" N, 2°23 "E
    Performance

    Une per­for­mance ambi­tieuse aux coor­don­nées géo­gra­phi­que­ment exac­tes. Rigueur et cons­tance. Poésie prime. Immersion, prag­ma­tisme et cor­ré­la­tions. Peut-être des tubes de salles de bain. De la pensée posi­tive ou pres­que. Des sché­mas com­pli­qués. Une pré­sen­ta­tion irré­pro­cha­ble. Barthes, Deleuze et Foucault. De la phy­si­ca­lité, quand même. Une nou­velle son­ne­rie pour ton télé­phone por­ta­ble. Quelques pro­po­si­tions de situa­tions. Hémisphères gauche et droit du cer­veau fonc­tion­nant main dans la main (sic). Des acces­soi­res essen­tiels. Une déam­bu­la­tion pas­sion­nante dans un espace à priori clos. Taux d’hygro­mé­trie garanti cons­tant. Un coq à l’âne débridé et men­ta­le­ment iti­né­rant. Des objets d’art contem­po­rain conton­dants. Du désoeu­vre­ment actif. De beaux habits. Du ciment pas­sion­nel. Des jeunes gens moder­nes. Un trip­ty­que émotionnel livré mono­bloc. Sarah Tritz. Des moments déci­sifs comme la fois où, un matin, je m’étais coupé à l’index de façon béni­gne, et je m’étais évanouie, et en m’évanouissant j’étais tombée la tête contre le radia­teur de la salle de bain, chez mes parents, choc qui n’avait pas épargné mon crâne, pour­tant pro­tégé par une masse consé­quente de che­veux, et qui avait résulté en une suture en trois points, réa­lisé à vif par le méde­cin fami­lial, le Docteur Diers. Des digres­sions pas­sion­nan­tes et fort utiles. Un rubiks­cube. Une échelle. Des man­tras impro­vi­sés. A bien­tôt. Dominique Gilliot.

    23/04/08, 20h
    Benjamin Seror, artiste
    Plusieurs chan­sons d’amour, un meur­tre et un poème élégiaque sur le métro

    Une per­for­mance com­po­sée d’un ensem­ble de chan­sons d’amour, pour la plu­part et
    aussi de quel­ques autres par­lant de faits-divers sor­di­des, écrites comme une forme de com­men­taire pos­si­ble des ins­tal­la­tions de Sarah Tritz, dans un aller-retour entre la réa­lité et les fic­tions que pro­po­sent ces ins­tal­la­tions. Il sera ques­tion d’amour, de soli­tude, de soli­tude face à l’amour, du sen­ti­ment d’héroïsme, de meur­tre, de pul­sions vio­len­tes, d’héroïsme face à la pul­sion vio­lente, du métro, de l’amour dans le métro, d’héroïsme face à l’amour dans le métro.

    30/04/08, 20h
    Anne Kawala, poète et cri­ti­que d’art
    (À B., C., D., E.,)(s)

    Il s’agira d’une lec­ture-per­for­mance d’une ving­taine de minu­tes, d’un texte écrit pour l’occa­sion, dont le sujet sera celui du scé­na­rio sculp­tu­ral autour des ini­tia­les des inter­ve­nants, A, B, C, D, E – S. De cette notion de scé­na­rio sculp­tu­ral, Sarah Tritz et moi avons sou­vent dis­cuté : il s’agit de la ques­tion de la pré­sence, absente, au sein d’un moment, d’un indi­vidu, porté là par un objet tran­si­tion­nel, une tierce ren­contre, etc. Le scé­na­rio sculp­tu­ral pose la ques­tion de l’espace et aussi celle du temps, soit celle de la sculp­ture et du temps de son appro­pria­tion, à tra­vers l’écrit. Cette lec­ture s’accom­pa­gnera pro­ba­ble­ment de la pro­jec­tion de cartes d’invi­ta­tion réa­li­sées durant l’année écoulée à l’inten­tion de ces mêmes A,B, C, D, E – S, ques­tion­nant l’arti­cu­la­tion et la frag­men­ta­tion d’un cin­qu­ple espace (celui de l’ins­tal­la­tion, celui de la place des spec­ta­teurs, celui de la pro­jec­tion, celui de l’adresse, et celui du lec­teur-per­for­mer) et qui sera énoncé dans le texte lu.
    Voir a.naked.lawn

    07/05/08, 20h
    Emilie Perotto, artiste
    Conférence-per­for­mance

    Dans le cadre de l’invi­ta­tion de Sarah Tritz à inter­ve­nir lors de son expo­si­tion Capriccio cher­che Comtesse à Bétonsalon, je me pro­pose de faire une per­for­mance-confé­rence expli­ci­tant l’exis­tence de mon tra­vail de sculp­ture, en m’ins­pi­rant de la vidéo que je pré­pare actuel­le­ment : Les demons­tra­tions. Dans cette vidéo, je démon­tre mathé­ma­ti­que­ment l’exis­tence de mes sculp­tu­res. Pour la per­for­mance-confé­rence à Bétonsalon, il sera plutôt ques­tion d’un cours magis­tral, où les mathé­ma­ti­ques, l’his­toire et l’his­toire de l’art se mêle­ront pour abou­tir au pour­quoi du com­ment aujourd’hui je fais le tra­vail que je fais (moi, jeune femme née en 1980 en France, sculp­teur), et ce en pas­sant, entre autre, par le nau­frage de la Méduse, l’exis­tence de Carl Andre, Alice au Pays des Merveilles, la crise de la métal­lur­gie des années 80, la ren­contre entre Bashung et Gainsbourg, la mort de Kippenberger, la créa­tion de La Station, mon téles­co­page avec Sarah Tritz.

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