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  • Bétonsalon - centre d'art et de recherche

    9 esplanade Pierre Vidal-Naquet

    75013 Paris
    +33.(0)1.45.84.17.56
    Adresse postale
    Bétonsalon - centre d'art et de recherche
    Université de Paris
    5 rue Thomas Mann
    Campus des Grands Moulins
    75205 Paris Cédex 13
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  • Biographies

    Thelma Cappello


    Xinyi Cheng (1989, Wuhan, Chine) vit et tra­vaille à Paris. Elle a étudié la pein­ture au Maryland Institute College of Art (États-Unis) et a été en rési­dence à la Rijksakademie van beel­dende kuns­ten (Pays-Bas). Elle a pré­senté son tra­vail dans des expo­si­tions per­son­nel­les : Harnessing the Power of Wind, Antenna Space, Shanghai, 2018 ; The hands of a barber, they give in, Galerie Balice Hertling, Paris, 2017 ; Swimming Hole, Practice, New York, 2015 ; et des expo­si­tions col­lec­ti­ves : Noise ! Frans Hals, Otherwise, Frans Hals Museum, Haarlem, 2018 ; Painting Now and Forever, Part III, Greene Naftali Gallery, Matthew Marks Gallery, New York, 2018 ; Scraggly Beard Grandpa, Capsule, Shanghai, 2017.

    Xinyi Cheng, Coiffeur, 2017, huile sur lin, 80 × 140 cm. Courtesy de l’artiste et galerie Balice-Hertling, Paris.

    Nathanaëlle Herbelin (1989, Israël) est une artiste pein­tre vivant et tra­vaillant à Paris. Elle crée des ponts entre l’intime et le poli­ti­que à tra­vers des pein­tu­res de son envi­ron­ne­ment et de son entou­rage. Herbelin est diplô­mée de l’École natio­nale supé­rieure des beaux-arts de Paris (DNSAP, 2016) et a été invi­tée en 2015 à suivre la for­ma­tion de la Cooper Union (New York, États-Unis). Son tra­vail a été pré­senté, entre autres, à l’espace Bonnevalle, Noisy-le-Sec (expo­si­tion per­son­nelle, 2018), à In Box (Bruxelles 2018), au musée des Beaux-arts de Rennes, où l’une de ses toiles a inté­gré la col­lec­tion (2018), à la Collection Lambert (Avignon, 2017) et à la Fondation d’entre­prise Ricard (Paris, 2017). Elle est actuel­le­ment repré­sen­tée par la gale­rie Jousse Entreprise (Paris).

    Nathanaëlle Herbelin, Arad, 2018, 130 x 143 cm, huile sur toile. Courtesy de l’artiste.

    Liverpool Black Women Filmmakers est un col­lec­tif de jeunes réa­li­sa­tri­ces qui se sont réu­nies pour réa­li­ser des films en octo­bre 2017. Le col­lec­tif est ins­piré par l’his­toire des mou­ve­ments anti-racis­tes, fémi­nis­tes et « woma­nis­tes » de Liverpool, tels le Womens’ IndependenT Cinema House (Witch), Black Witch et le Liverpool Black Media Group. Elles tra­vaillent actuel­le­ment à la concep­tion d’un second court-métrage. Ses mem­bres sont Hannah, Muntaz et Yasmin.

    Rehana Zaman (1982, Royaume-Uni) est une artiste qui vit et tra­vaille à Londres. Elle tra­vaille prin­ci­pa­le­ment avec l’image animée et la per­for­mance, exa­mi­nant com­ment les dyna­mi­ques socia­les sont pro­dui­tes et per­for­mées. Son tra­vail aborde le lien entre expé­rience per­son­nelle et vie sociale, là où l’inti­mité est en conflit avec la sur­veillance et le contrôle de l’État. Elle a reçu une bourse de recher­che du British Council avec le Museo de Art Carrillo Gil, Mexico DF (Mexique, 2015) et une bourse inter­na­tio­nale de Gasworks à Beyrouth (Liban, 2013). Ses expo­si­tions per­son­nel­les récen­tes et à venir incluent la bien­nale de Kochi-Muziris 2018 (Kerala, Inde) ; Biennale de Liverpool 2018 (Royaume-Uni) ; Serpentine Projects, Londres (Royaume-Uni, 2018) ; Berwick Film and Media Arts Festival (Royaume-Uni, 2018) ; CCA, Glasgow (Royaume-Uni, 2018) ; Material Art Fair IV, Mexico DF (Mexique, 2017). Ses oeu­vres et films ont été mon­trés au Oberhausen Film Festival, fes­ti­val de Winterthur (Suisse), l’ICA et Whitechapel, Londres. En 2017, Zaman a reçu le Prix Paul Hamlyn pour les Artistes.

    Liverpool Black Women Filmmakers & Rehana Zaman, How Does an Invisible Boy Disappear ?, 2018, vidéo. Courtesy de l’artiste.

    Adrian Mabileau Ebrahimi Tajadod (1990, France) vit et tra­vaille à Paris. Diplômé de l’ESBA d’Angers puis de l’École natio­nale supé­rieure d’arts de Paris-Cergy (2017), il passe une enfance soli­taire en Vendée : il s’entoure de ses chiens, de rêve­ries, et d’Internet, un outil alors encore nais­sant en tant que bien massif de consom­ma­tion. À partir des anec­do­tes et des objets qui tra­ver­sent son quo­ti­dien, Adrian Mabileau Ebrahimi Tajadod crée des say­nè­tes en fai­sant usage de maté­riaux domes­ti­ques (car­tons peints, papier-mâché, céra­mi­ques) ; des maté­riaux aussi faci­les à trans­for­mer que doués d’une forte portée sym­bo­li­que. Ses ins­tal­la­tions se veu­lent drôles et sen­ti­men­ta­les, reflé­tant ses exal­ta­tions et ses désirs. Il y évoque autant le quat­tro­cento Italien, que la Grèce anti­que, la Perse, des jeux en ligne comme Age of Empires, et aussi, bien sûr, la vie homo­sexuelle contem­po­raine.

    Adrian Mabileau Ebrahimi Tajadod, Strip-Tears, 2017, sculpture, colonne rotative, carton, papier blanc laminé, céramique, peinture, acrylique, résine, tissu Dior™, 157 x 112 cm.

    Georgia Lucas-Going (1988, Luton, Royaume-Uni) est actuel­le­ment artiste en rési­dence aux stu­dios Alexander McQueen, Londres, ainsi qu’au Wysing Art Centre, Cambridge (Royaume-Uni) avec le col­lec­tif FORMERLY CALLED. Elle est diplô­mée de la Slade School of Arts, University College London (MFA en Beaux-arts). Elle a également été sélec­tion­née pour le pro­gramme Deptford X 2018 et est lau­réate du Prix Berenice Goodwin pour la Performance. Lucas-Going sera rési­dente de la Rijksakademie à partir de 2019. Ses oeu­vres ont été expo­sées au ICA et à la Tate Modern (Londres, Royaume-Uni).

    Georgia Lucas-Going, DAD, 2017, performance durationelle, sa dernière chaise. Courtesy de l’artiste.

    Dala Nasser (1990) est une artiste vivant à Beyrouth (Liban). Sa pra­ti­que inter­roge les maté­riaux et pro­ces­sus de pro­duc­tion, à tra­vers des œuvres qui répon­dent à leurs com­po­san­tes phy­si­ques et contex­tuel­les, évoluant en auto­no­mie. Elle est diplô­mée de la Slade School de l’University College London (BFA en Beaux-arts, 2016) avec une spé­cia­li­sa­tion en pein­ture. Elle a reçu la Boise Travel Scholarship et le Prix des Jeunes Talents du 32e Salon d’Automne du Musée Sursock (Beyrouth). Son tra­vail a été pré­senté lors de la 13e Biennale de Sharjah, Acte II, sous le com­mis­sa­riat d’Hicham Khalidi, et lors de l’expo­si­tion de pein­ture abs­traite Surface Work de la gale­rie lon­do­nienne Victoria Miro, ras­sem­blant des artis­tes femmes de plu­sieurs géné­ra­tions.

    Dala Nasser, Sans titre (détail), 2018, sumac, menthe, charbon, latex liquide, habillage d’échafaudage, résine, 190 x 130 cm. Courtesy de l’artiste.

    Kameelah Janan Rasheed (1985, East Palo Alto, CA, États-Unis) vit et tra­vaille à Brooklyn, New York. Elle rend sa démar­che d’appren­tis­sage visi­ble à tra­vers un écosystème de pro­jets ité­ra­tifs, tels que des "col­la­ges pensés comme des archi­tec­tu­res" (frieze, hiver 2018), poèmes, gestes et mots assem­blés selon une logi­que poé­ti­que, essais, publi­ca­tions, archi­ves numé­ri­ques, cours, pro­gram­mes sco­lai­res, lec­tu­res-per­for­man­ces, du stand-up et d’autres formes res­tant à déter­mi­ner. Son tra­vail a été pré­senté à, entre autres : la Biennale de Venise 2017, CAG (Vancouver, BC, Canada), Portland Institute of Contemporary Art (Oregon), ICA (Philadelphie, PA), New Museum, Brooklyn Museum,The Kitchen, Printed Matter, Jack Shainman Gallery, Studio Museum in Harlem, Bronx Museum, Queens Museum, Schomburg Center for Research in Black Culture, BAM (New York). Kameelah Janan Rasheed ensei­gne à la School of Visual Arts (New York) et élabore des pro­gram­mes en scien­ces socia­les pour les écoles publi­ques de New York. Elle est titu­laire d’une licence en Politiques publi­ques et Études afri­cai­nes (2006, Pomona College, CA) et d’un master en Enseignement en scien­ces socia­les (2008, Stanford University, CA).


    Hamid Shams (1990, Téhéran, Iran) vit et tra­vaille à Paris, où il est en der­nière année de diplôme à l’École natio­nale supé­rieure des arts déco­ra­tifs (ENSAD, 2019), après avoir obtenu une licence en Arts plas­ti­ques à l’uni­ver­sité Paris 8 de Saint-Denis (2017). Shams fait usage de tech­ni­ques pho­to­gra­phi­ques et d’ins­tal­la­tions sculp­tu­ra­les pour créer des envi­ron­ne­ments où se mêlent rap­ports de domi­na­tion et de sou­mis­sion. En Iran, il a d’abord déve­loppé sa pra­ti­que de la pho­to­gra­phie et du cinéma en même temps que ses études d’ingé­nie­rie. Shams a par­ti­cipé à l’édition 2018 d’Artagon (Pantin, France). Son tra­vail a été exposé à Cinema Galeries (Bruxelles, Belgique), Synesthésie (Saint-Denis, France), la Médiathèque André Malraux (Strasbourg, France), Silk Road Gallery (Téhéran, Iran) et à LP Art Space (Chongqing, Chine).

    Hamid Shams, Comfort Zone, 2018, cuir, fausse fourrure, chaine en métal, impression directe sur aluminium brossé, impression jet d’encre sur papier photographique, dimensions variables. Vue d’installation, Artagon (Pantin, France), 2018. Courtesy de l’artiste.

    Patrick Staff est un.e artiste vivant à Londres (Royaume-Uni) et à Los Angeles (États-Unis). Staff énonce les nom­breu­ses maniè­res par les­quel­les le corps queer est incarné, com­pris et contrôlé, à tra­vers l’ins­tal­la­tion vidéo, la per­for­mance et les nou­veaux médias. L’artiste est diplômé.e de Goldsmiths, University of London (BA en Beaux-arts et études cri­ti­ques contem­po­rai­nes, 2009). Ses œuvres ont été pré­sen­tées au Museum of Contemporary Art, Los Angeles (2017) ; New Museum, New York (2017) ; Art Space, Sydney (2016) ; Spike Island, Bristol (2016) et à la Chisenhale Gallery, Londres (2015). Staff a reçu le prix Paul Hamlyn pour les Arts Visuels en 2015.

    Patrick Staff, extraits de depollute, 2018, vidéo, 16mm. Courtesy de l’artiste.

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