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  • Bétonsalon - centre d'art et de recherche

    9 esplanade Pierre Vidal-Naquet

    75013 Paris
    +33.(0)1.45.84.17.56
    Adresse postale
    Bétonsalon - centre d'art et de recherche
    Université de Paris
    5 rue Thomas Mann
    Campus des Grands Moulins
    75205 Paris Cédex 13
  • Gaëlle Choisne : TEMPLE OF LOVE
  • Communiqué de presse
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  • BS n°24 - Journal d’exposition
  • Atelier : A Love Note About Rage
  • Les « midideux » : 6 mini-conférences
  • Atelier : Érosion Affective
  • Événements

    ÉVÉNEMENTS PASSÉS

    SAMEDI 15 DÉCEMBRE 2018, 15H

    Pour le der­nier jour de l’expo­si­tion TEMPLE OF LOVE
    Projection de Bivalvia : Act I (2017), 20’, de Yu Araki.
    Performance de KHNG KHAN.

    Yu Araki est un artiste et cinéaste vivant à Tokyo (Japon). Araki a étudié la sculp­ture à l’uni­ver­sité Washington (Saint-Louis, États-Unis). Il a ensuite obtenu son Master en Cinéma et Études des nou­veaux médias de l’Université des Arts de Tokyo (Japan). Il a été récem­ment invité comme artiste rési­dent à la Rijksakademie van beel­dende kuns­ten (Amsterdam, Pays-Bas). Il a exposé à la Fondation Joan Miró (Barcelone, Espagne), au Dallas Contemporary (Dallas, États-Unis) et a par­ti­cipé au Okayama Art Summit (Okayama, Japon). Ses films ont été pro­gram­més par de nom­breux fes­ti­vals inter­na­tio­naux, notam­ment par le BFI London Film Festival, le Festival inter­na­tio­nal du Court-métrage d’Oberhausen, aux Rencontres Internationales Paris/Berlin et au Festival inter­na­tio­nal du Film de Rotterdam pour lequel il a rem­porté le prix Ammodo Tiger Short Film Award en 2018. Yu Araki fait partie des vingt-et-un artis­tes retenu.e.s pour concou­rir en 2019 pour le Future Generation Art Prize orga­nisé par la Fondation Victor Pinchuk (Kiev, Ukraine).

    KHNG KHAN, Alex Mordvinoff, né en 1992, est un rap­peur et pro­duc­teur franco-amé­ri­cain, aux ori­gi­nes russes, amé­ri­cai­nes et viet­na­mien­nes mélan­gées. « Digital natif » aux influen­ces mul­ti­ples, sa musi­que est une com­bi­nai­son auda­cieuse de trap, de baile funk, de drum and bass, de grim, de garage, d’IDM et de free jazz… Même s’il a com­mencé à écrire en fran­çais, il a choisi l’anglais pour rapper. Son nom de scène est une réfé­rence au per­son­nage his­to­ri­que de Gengis Khan, père de la nation mon­gole. Aujourd’hui le jeune rap­peur, facé­tieux, adopte le blaze de KHKH. Parmi ses réfé­ren­ces, on trouve Kool Keith, KRS-One ou des grou­pes comme Antipop Consortium et Freestyle Fellowship, Frank Zappa, Hermeto Pascoal, Charles Mingus... Artiste pro­lixe, il met en scène dans ses vidéos des per­son­na­ges mys­té­rieux et fas­ci­nants comme dans son clip Pekin Drama lorsqu’il endosse les habits d’un per­son­nage de l’Opéra de Pékin. Sur scène, il se pro­duit accom­pa­gné de ses aco­ly­tes du label Big Brothers, Amor Satyr et Blo avec les­quels il a fondé son pre­mier col­lec­tif il y a déjà plus de sept ans. Il était cons­ti­tué de cinq per­son­nes pour en comp­ter désor­mais le double. Les Big Brothers vivent désor­mais en com­mu­nauté dans une ferme en France dans la com­mune du Gros Poirier, recen­sant aussi bien des vidéas­tes, des illus­tra­teurs, des sculp­teurs que des musi­ciens.


    SAMEDI 08 SEPTEMBRE 2018, 15H

    Visite de l’expo­si­tion TEMPLE OF LOVE
    Visite com­men­tée et dis­cus­sion ouverte avec Gaëlle Choisne, artiste, et Lucas Morin, com­mis­saire de l’expo­si­tion.


    VENDREDI 14 & SAMEDI 15 SEPTEMBRE 2018

    JOURNÉES DU PATRIMOINE



    Ateliers Plantes magi­ques

    Le ven­dredi 14/09, toute la jour­née, par Lucile Chapsal des Cueilleuses de pay­sage et Julien Sarpon dans le cadre des Enfants du Patrimoine.


    Atelier fami­lial Cake d’amour

    Le samedi 15/09 à 15h, avec la mère de l’artiste, Marie-Carmel Brouard.
    Atelier ouvert à tous et toutes, sur ins­crip­tion.


    DU 03 AU 06 OCTOBRE 2018


    Atelier A Love Note About Rage

    Un ate­lier inten­sif ouvert à tous et toutes, mené par Tarek Lakhrissi
    Inscription obli­ga­toire avant le 21 sep­tem­bre, capa­cité limi­tée.

    Moment public, le samedi 6 octo­bre de 12 à 15h :
    Les par­ti­ci­pant.e.s ont cui­siné un déjeu­ner au sein de Bétonsalon pour par­ta­ger un moment convi­vial. Elles et ils ont exprimé ce qu’ils ont retenu des trois jours de work­shop, sous la forme de mani­fes­ta­tions hybri­des, de prises de paro­les, de textes et de per­for­man­ces ou de formes libres.
    Le repas, végé­ta­rien, a été par­tagé avec le public.

    Plus d’infor­ma­tions ici.


    MARDI 23 OCTOBRE 2018, 19H


    A love culture par Nadia Yala Kisukidi.
    Lecture de Les explo­­sions ne me concer­­nent pas, un texte de Karim Kattan,
    Performance par Eden Tinto Collins, incluant une pro­jec­tion de la vidéo I Put a Spell on You de Kengné Téguia.

    Karim Kattan est un écrivain pales­­ti­­nien né à Jérusalem en 1989. Son pre­­mier livre, Préliminaires pour un verger futur, a été publié en 2017 aux éditions Elyzad. Actuellement doc­­to­­rant en lit­­té­­ra­­ture com­­pa­­rée à l’uni­­ver­­sité Paris Nanterre, il a également cofondé el-Atlal, une rési­­dence d’artis­­tes et d’écrivains à Jéricho, en Palestine.

    Nadia Yala Kisukidi est maî­­tresse de confé­­ren­­ces en phi­­lo­­so­­phie à l’uni­­ver­­sité Paris 8 Vincennes-Saint-Denis. Elle a été Vice-Présidente du Collège International de Philosophie (2014-2016). Elle a publié de nom­­breux arti­­cles en black stu­­dies et en phi­­lo­­so­­phie fran­­çaise contem­­po­­raine.

    Eden Tinto Collins est née en 1991 dans l’Essonne. Elle tra­­vaille et réside actuel­­le­­ment à Ivry-sur-Seine. C’est à l’École natio­­nale supé­­rieure d’arts de Paris-Cergy qu’elle s’initie et déve­­loppe sa pra­­ti­­que des arts plas­­ti­­ques. Poéticienne, trans, –voire hyper–, médias, elle explore libre­­ment les f.r.ictions entre mélan­­co­­lie, mytho­­lo­­gie et iden­­tité, tout en déve­­lop­­pant une rela­­tion au Tiers-monde « ima­­gi­­nal ». De là pro­­li­­fè­­rent un dis­­cours poé­­ti­­que, des dis­­po­­si­­tifs rela­­tion­­nels, noé­­ti­­ques (de la pensée et de l’esprit) acti­­vés par l’uti­­li­­sa­­tion des prin­­ci­­pes de sué­­dage et de re-enact­­ment.


    SAMEDI 17 NOVEMBRE 2018, 15-18H

    L’his­toire est pleine de gens qui n’ont juste pas*
    Conversation entre Anne Boyer et The Cheapest University.

    The Cheapest University invite Anne Boyer à dis­cu­ter des formes pos­si­bles de luttes et d’enga­ge­ments col­lec­tifs à l’inté­rieur de l’écriture et de l’art. Cette conver­sa­tion a eu pour point de départ deux ouvra­ges d’Anne Boyer : Garments Against Women (Ahsahta Press, 2015) et A Handbook of Disappointed Fate (Ugly Duckling Presse, 2018). Dans ces livres, l’auteure engage une réflexion sur le post-fémi­nisme, l’his­toire du tra­vail à tra­vers le genre et les arti­cu­la­tions entre marxisme et fémi­nisme, émettant l’hypo­thèse d’une émancipation par et de la poésie.

    Pour l’occa­sion, The Cheapest University conti­nue son tra­vail de tra­duc­tion d’auteu­res anglo­pho­nes non-tra­dui­tes en fran­çais à tra­vers une publi­ca­tion en col­la­bo­ra­tion avec After 8 Books.
    La conver­sa­tion a été suivie d’une lec­ture croi­sée entre Anne Boyer et The Cheapest University, à partir des textes tra­duits.

    *History is full of people who just didn’t (extrait du texte No, dans A Handbook of Disappointed Fate d’Anne Boyer).

    Anne Boyer est une poé­tesse et essayiste amé­ri­caine, ori­gi­naire de Kansas City (Missouri, États-Unis). Parmi les recueils de poésie qu’elle a écrits, on peut comp­ter The Romance of Happy Workers (Romance des tra­vailleurs heu­reux), My Common Heart (Mon cœur ordi­naire) ainsi que Garments Against Women (Des habits contre les femmes). Son ouvrage le plus récent com­pre­nant plu­sieurs essais, fables et libel­les regrou­pés sous le titre A Handbook of Disappointed Fate. The Undying (Guide pour une des­ti­née déce­vante. Les Immortels) est en réa­lité une auto­bio­gra­phie qui traite de sujets tels que le cancer, la pro­blé­ma­ti­que du care et de la place du corps dans l’Histoire ; il paraî­tra en 2019 aux éditions FSG aux États-Unis et aux éditions Penguin au Royaume-Uni. Anne Boyer a reçu plu­sieurs dis­tinc­tions dont le prix de poésie Cy Twombly de la Foundation for Contemporary Arts (FCA, New York) ; la même année, elle rece­vait le prix Whiting de lit­té­ra­ture non roma­nes­que et de poésie. En 2016, elle a été lau­réate du prix CLMP pour Garments Against Women. Agrégée en Lettres et Sciences humai­nes, elle est actuel­le­ment cher­cheuse asso­ciée au sein du dépar­te­ment Judith E. Wilson Poetry de l’uni­ver­sité de Cambridge au Royaume-Uni et ensei­gne la lit­té­ra­ture, la phi­lo­so­phie et la créa­tion lit­té­raire au Kansas City Art Institute.

    The Cheapest University est une uni­ver­sité expé­ri­men­tale et gra­tuite. Son dessin et son orga­ni­sa­tion sont pris en charge par des artis­tes. Elle s’est cons­ti­tuée par affi­ni­tés électives, autour d’un esprit d’enthou­siasme et d’ouver­ture. Université contri­bu­tive et artis­ti­que, elle est aussi enga­gée qu’immé­diate : seu­le­ment dépen­dante de la volonté de ceux.lles qui la com­po­sent — tous.tes béné­vo­les —, elle s’ins­crit comme néces­sité dans leurs pra­ti­ques, par pro­lon­ge­ment de leurs recher­ches per­son­nel­les ou par inven­tion col­lec­tive de situa­tions ten­dant vers l’œuvre. The Cheapest University s’atta­che à créer des condi­tions de tra­vail col­lec­tif per­met­tant l’accueil de nou­veaux mem­bres, quel que soit l’avan­cée de leurs pra­ti­ques.


    MARDI 11 DÉCEMBRE, 17H-19H

    Restitution de l’ate­lier Érosion affec­tive mené par le duo d’artis­tes Marie Ouazzani et Nicolas Carrier, initié par le Service Culture de l’uni­ver­sité Paris Diderot. En pré­sence des deux artis­tes et des par­ti­ci­pants et par­ti­ci­pan­tes, sous forme de pro­jec­tion et d’ins­tal­la­tions. L’événement est accom­pa­gné d’échanges et d’un pot amical.

    « Donner de l’atten­­tion, pren­­dre soin, sou­­te­­nir, bien veiller, pro­­té­­ger, sont autant de formes d’un amour que l’on peut trans­­met­­tre. Les par­­ti­­ci­­pants et par­ti­ci­pan­tes s’aven­­tu­­re­­ront dans le quar­­tier de l’uni­­ver­­sité Paris Diderot comme dans un polar plu­­vieux, où les images seront les indi­­ces et les soup­­çons écologiques d’une grande enquête sur l’amour. Dans ce quar­­tier en plein essor, où de nou­­veaux maté­­riaux sont uti­­li­­sés pour ériger de nom­­breux immeu­­bles, il faudra aimer obser­­ver - l’archi­­tec­­ture, les maté­­riaux, les miné­­raux, la Seine - tout en se pro­­me­­nant pour déni­­cher l’érosion des sen­­ti­­ments. »
    Plus d’infor­ma­tions


    JEUDI 13 DÉCEMBRE, 12H

    Les midi­deux de Bétonsalon

    Six mini-confé­ren­ces autour de l’amour, don­nées par des cher­cheurs et cher­cheu­ses pro­ve­nant de dis­ci­pli­nes variées : Martine Beugnet (études visuel­les), Fanny Cardin (let­tres et cinéma), Jean-François Cottier (langue et lit­té­ra­ture lati­nes), Gabrielle Houbre (his­toire contem­po­raine), Pierre Kerner (scien­ces du vivant), Jonathan Weitzman (épigénétique).
    Les midi­deux sont orga­ni­sés avec le studio vidéo de l’uni­ver­sité Paris Diderot, dans le cadre de l’expo­si­tion de Gaëlle Choisne. Ils sont suivis d’un pot amical.
    Plus d’infor­ma­tions


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