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  • Bétonsalon - centre d'art et de recherche

    9 esplanade Pierre Vidal-Naquet

    75013 Paris
    +33.(0)1.45.84.17.56
    Adresse postale
    Bétonsalon - centre d'art et de recherche
    Université de Paris
    5 rue Thomas Mann
    Campus des Grands Moulins
    75205 Paris Cédex 13
  • Parties Prenantes
  • Contexte : la ZAC Paris Rive Gauche
  • Agenda
  • Journal en image
  • L’université Paris Diderot - Paris 7

    L’his­toire de l’Université Paris 7 a débuté en 1970, dans le cadre de la par­ti­tion de l’uni­ver­sité de Paris suite aux événements de 1968. Conduite par des per­son­na­li­tés scien­ti­fi­ques de pre­mier plan, elle s’est atta­chée à décloi­son­ner les savoirs et à mener une part impor­tante de sa recher­che et de son ensei­gne­ment à l’inter­face des dis­ci­pli­nes, ce qui l’a conduite un peu plus tard, à rendre hom­mage à l’ambi­tion des ency­clo­pé­dis­tes en se pla­çant sous le patro­nage de Denis Diderot.

    Pluridisciplinaire, elle ras­sem­ble 3 grands domai­nes de for­ma­tion :
    - Sciences
    - Lettres, Langues, Sciences Humaines et Sociales
    - Médecine, Odontologie

    Le Master Géographie et Sciences des ter­ri­toi­res, spé­cia­lité Recherche : Environnement, Paysages, Milieux et Sociétés (EPMS)
    La spé­cia­lité « Environnement, milieux, tech­ni­ques, socié­tés : appro­che inter­dis­ci­pli­naire », qui asso­cie le Muséum, l’INAPG et l’Université Paris Diderot - Paris 7, se pro­pose de former des jeunes cher­cheurs capa­bles d’appré­hen­der la com­plexité des pro­blè­mes envi­ron­ne­men­taux et de s’inté­grer dans des équipes plu­ri­dis­ci­pli­nai­res visant à les résou­dre. L’ensei­gne­ment pré­pare à ana­ly­ser les inte­rac­tions entre des pro­ces­sus de natu­res, dyna­mi­ques et échelles dif­fé­ren­tes agis­sant au sein de sys­tè­mes écologiques inter­dé­pen­dants, à l’inter­face de la nature et des socié­tés. Il intè­gre donc les appro­ches de trois ensem­bles dis­ci­pli­nai­res : les scien­ces de la nature, les scien­ces agro­no­mi­ques et les scien­ces socia­les et humai­nes. Mieux com­pren­dre les rela­tions entre pro­ces­sus écologiques et acti­vi­tés humai­nes permet d’agir sur elles avec davan­tage de per­ti­nence et d’effi­ca­cité : la pré­ser­va­tion de l’envi­ron­ne­ment passe par le déve­lop­pe­ment de recher­ches inter­dis­ci­pli­nai­res. Au moment où l’on passe de la pro­tec­tion de l’envi­ron­ne­ment qui était du res­sort des seuls déci­deurs et scien­ti­fi­ques à une pro­blé­ma­ti­que de co-ges­tion, les points de vue d’un grand nombre d’acteurs sociaux se confron­tent. Aucune dis­ci­pline ne dis­pose à elle seule des outils néces­sai­res pour com­pren­dre cette com­plexité. On appren­dra donc aux étudiants à dépas­ser les concepts de leur dis­ci­pline d’ori­gine et à recen­trer leurs inter­ven­tions dans le cadre de « ques­tions d’envi­ron­ne­ment « . Cette for­ma­tion inter­dis­ci­pli­naire à fina­lité envi­ron­ne­men­tale inclut les domai­nes : 1/ du déve­lop­pe­ment dura­ble, 2/ de la négo­cia­tion de ces nou­veaux modes de ges­tion avec les acteurs sociaux impli­qués, 3/ des nou­vel­les moda­li­tés d’amé­na­ge­ment du ter­ri­toire basées sur la reconnais­sance des espa­ces, des infra­struc­tu­res natu­rel­les et de la nature ordi­naire, 4/ des nou­vel­les moda­li­tés de ges­tion inté­grant exploi­ta­tion des res­sour­ces, déve­lop­pe­ment et pro­tec­tion de la bio­di­ver­sité. Trois par­cours-types sont pro­po­sés : 1/ « DEVELOPPEMENT DURABLE ET GESTION CONSERVATOIRE « , Responsables Marie Roué (DR CNRS/Muséum), Jean-Marie Betsch (PR, Muséum) 2/ « DEVELOPPEMENT DURABLE ET AGRICULTURES « , Responsables Jean Lossouarn (PR INAPG) et François Léger (IR INAPG) 3/ « PAYSAGES, MILIEUX ET DEVELOPPEMENT DURABLE : du local au global « , Responsable : Marianne COHEN (MDC HDR, Paris 7)

    Enseignante impli­quée : Nathalie Blanc
    Mon projet géné­ral consiste à réin­tro­duire l’habi­tant dans l’ana­lyse urbaine, comme pro­duc­teur de milieux, et l’envi­ron­ne­ment comme une cons­truc­tion sociale concrète, pro­duit de rap­ports sociaux que met­tent en évidence les pra­ti­ques quo­ti­dien­nes. En ce sens, c’est un pro­ces­sus auquel par­ti­ci­pent les énoncés quo­ti­diens enga­gés dans la pro­duc­tion esthé­ti­que et créa­trice des lieux et milieux de vie, via la pro­duc­tion d’objets, de jar­dins ou d’espa­ces verts, des arran­ge­ments domes­ti­ques ou col­lec­tifs ; ils mon­trent la voie d’une pro­duc­tion col­lec­tive des lieux, mani­fes­tant un goût des lieux et une pos­si­bi­lité d’exis­ter loca­li­sée.
    Mon apport à la recher­che est fait de deux ouvra­ges de syn­thèse (Les ani­maux et la ville, O. Jacob, 2000, Vers une esthé­ti­que envi­ron­ne­men­tale, Quae, 2008) quatre ouvra­ges en co-direc­tion ou numé­ros spé­ciaux de revue (« Aimons la ville » avec D. Boullier et J. Lolive, « Esthétique et espace public » avec J. Lolive dans la revue Cosmopolitiques aux éditions de l’Aube, Grands bar­ra­ges et habi­tants avec S. Bonin, « Littérature et écologie. Vers une écopoétique » avec T. Pughe, D. Chartier, les deux der­niers en 2008), vingt-quatre arti­cles dans des revues à comité de lec­ture ou contri­bu­tion à des ouvra­ges de recher­che et 6 en cours de publi­ca­tion, onze arti­cles de syn­thèse, et dix compte-rendus d’ouvrage ; soixante-neuf com­mu­ni­ca­tions à des sémi­nai­res, col­lo­ques ou confé­ren­ces natio­naux et inter­na­tio­naux en France, et treize lors de tels évènements à l’étranger. Je pré­pare avec Julie Ramos, maître de confé­ren­ces à l’uni­ver­sité de Paris 1 en his­toire de l’art, un ouvrage inti­tulé : « Ecoplasties. Pratiques et pen­sées de l’art et de l’écologie ». Sa sortie est prévue en 2009. Je pré­pare également un autre ouvrage de syn­thèse : « Faire le futur, un défi esthé­ti­que » aux éditions Armand Colin ; j’ai enfin par­ti­cipé à quinze rap­ports de recher­che sur la nature et le pay­sage en ville (2003. Des pay­sa­ges pour vivre la ville de demain, Réponse à l’appel à pro­po­si­tions de recher­che, pro­gramme « poli­ti­ques publi­ques et pay­sage », Ministère de l’écologie et du déve­lop­pe­ment dura­ble, 319 p.) et sur l’inves­tis­se­ment habi­tant des milieux de vie (2008. L’inves­tis­se­ment habi­tant des lieux et milieux de vie : une condi­tion du renou­vel­le­ment urbain ? Etude pros­pec­tive (France, États-Unis, Pays-Bas, Allemagne, Russie). Réponse à l’appel à pro­po­si­tions de recher­che « pro­gramme explo­ra­toire de recher­che pros­pec­tive euro­péenne », PUCA), par­fois en tant que res­pon­sa­ble. J’ai tou­jours eu à cœur de contri­buer à la pré­sence de la géo­gra­phie auprès d’un public large par une par­ti­ci­pa­tion fré­quente à des émissions de radio ou la presse écrite.
    Il faut signa­ler d’entrée également que mon acti­vité créa­trice n’est pas limi­tée à la recher­che géo­gra­phi­que, mais com­porte une forte dimen­sion esthé­ti­que. Il ne s’agit pas d’un « sup­plé­ment d’âme », mais d’un champ de préoc­cu­pa­tions qui croise de plus en plus de mon tra­vail de recher­che, ce dont témoi­gne le titre de mon der­nier ouvrage. Ces tra­vaux artis­ti­ques emprun­tent des voies très diver­ses : par­ti­ci­pa­tions à des expo­si­tions, réa­li­sa­tion d’un court métrage (Objet par­ti­cu­lier), tra­duc­tion de poé­sies amé­ri­cai­nes, créa­tion d’une asso­cia­tion (LMER : Le Monde Est Rond) pour faire dia­lo­guer poésie et envi­ron­ne­ment, etc. J’ai également, avant d’être cher­cheuse à temps plein (à la Délégation inter­mi­nis­té­rielle à la Ville, à l’Union Nationale des fédé­ra­tions d’orga­nis­mes HLM, enfin au CNRS depuis 1998), tra­vaillé comme gra­phiste dans des cabi­nets d’archi­tec­ture (et non des moin­dres : Wilmotte, Nouvel). La confluence des préoc­cu­pa­tions sur la nature en ville et de l’esthé­ti­que se concré­tise par­ti­cu­liè­re­ment en 2009 par la par­ti­ci­pa­tion à une acti­vité qua­li­fiée d’éco-artis­ti­que, la valo­ri­sa­tion de la Chartreuse des femmes dans la com­mu­nauté d’agglo­mé­ra­tion de Béthune. Elle est suivie d’une acti­vité impor­tante en matière de poésie sociale et sonore (Biennale de la poésie, Val-de-Marne, 2009).

    Etudiante impli­quée : Camila Santanna, pay­sa­giste, en master 2 Géographie et Sciences des ter­ri­toi­res, spé­cia­lité Recherche : Environnement, Paysages, Milieux et Sociétés (EPMS)

    L’IUP Génie de l’envi­ron­ne­ment
    L’ IUP Génie de l’Environnement de l’UFR STEP de l’Université Paris Diderot, et en par­te­na­riat avec l’Institut de Physique du Globe de Paris, pro­pose une for­ma­tion aux métiers de l’envi­ron­ne­ment.

    Etudiante impli­quée : Elsa Delberghe, en master 2 de l’IUP Génie de l’envi­ron­ne­ment

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