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  • Bétonsalon - centre d'art et de recherche

    9 esplanade Pierre Vidal-Naquet

    75013 Paris
    +33.(0)1.45.84.17.56
    Adresse postale
    Bétonsalon - centre d'art et de recherche
    Université de Paris
    5 rue Thomas Mann
    Campus des Grands Moulins
    75205 Paris Cédex 13
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    Événements à venir

    Samedi 25 mars, de 17h à 19h
    Rencontre avec Sawsan Noweir, actrice de La Nouba, et Mireille Calle-Gruber, pro­fes­seur de lit­té­ra­ture et esthé­ti­que à l’Université Sorbonne Nouvelle, auteur de l’ouvrage Assia Djebar, le manus­crit ina­chevé (2021)

    Née en 1946 en Égypte, Sawsan Noweir est pro­fes­seur d’archi­tec­ture à la retraite.
    Elle effec­tua des études d’archi­tec­ture et d’égyptologie en Égypte et en France. Après deux ans en France, elle ren­contre Assia Djebar en 1975 à Paris. De 1976, à 1978, elle a passé deux ans en Algérie, pour le film d’Assia Djebar La nouba des femmes du mont Chenoua, et comme pro­fes­seur d’archi­tec­ture à l’Institut d’Architecture de Constantine.

    Mireille Calle-Gruber, est pro­fes­seur de lit­té­ra­ture et esthé­ti­que à l’Université Sorbonne Nouvelle et écrivain, elle a dirigé l’édition des Oeuvres com­plè­tes de Michel Butor (La Différence, 2006-2010), écrit avec Butor Le Chevalier morose (récit-scé­na­rio), et co-dirigé le Dictionnaire uni­ver­sel des créa­tri­ces (des Femmes, 2013- électronique depuis 2016).
    Elle a co-orga­nisé le col­lo­que de Cerisy, Assia Djebar, lit­té­ra­ture et trans­mis­sion (Presses Sorbonne Nouvelle, 2009) et publié deux mono­gra­phies : Assia Djebar, la résis­tance de l’écriture (Maisonneuve & Larose, 2001), Assia Djebar, une sura­bon­dance dans le coeur (Ministère des Affaires Etrangères, 2006). Mireille Calle-Gruber est membre de l’Académie des Arts, Lettres et Sciences Humaines de la Société Royale du Canada, et doc­teur hono­ris causa de l’Université Aristote de Thessalonique.
    Elle a récem­ment publié Assia Djebar, le manus­crit ina­chevé (PSN, 2021).

    Jeudi 30 mars, de 19h à 21h
    Mohammed Khadda / Assia Djebar : Franchir les Signes
    Conférence de Natasha Marie Llorens, écrivain, com­­mis­­saire d’expo­­si­­tion indé­­pen­­dante et pro­­fes­­seur de théo­­rie de l’art à l’Institut royal d’art de Stockholm

    Dans le film clas­si­que d’Assia Djebar, La Nouba des Femmes du Mont Chenoua, une pein­ture de Mohammed Khadda est curieu­se­ment placée, ou dépla­cée, tapie dans l’arrière-plan sémio­ti­que. Cette confé­rence exa­mi­nera ce pla­ce­ment en contex­tua­li­sant le tra­vail de Khadda au milieu des années 1970 en Algérie et en ana­ly­sant la manière dont les deux artis­tes ont concep­tua­lisé le rôle de la langue dans leur émancipation sub­jec­tive et col­lec­tive, ainsi que les consé­quen­ces de leur ren­contre.

    Natasha Marie Llorens est écrivain, com­mis­saire d’expo­si­tion indé­pen­dante et pro­fes­seur de théo­rie de l’art à l’Institut royal d’art de Stockholm.
    Elle écrit sur l’art contem­po­rain et le cinéma, en met­tant l’accent sur la repré­sen­ta­tion de la vio­lence et de la déco­lo­nia­lité dans les arts et leurs ins­ti­tu­tions. Ces écrits ont été publiés dans des revues telles que Arab Studies Journal, art agenda, Artforum, ArtReview, BOMB, Contemporary Art Stavanger, CURA, frieze, Ibraaz, the Journal of North African Studies, Kunstlicht, PARSE Journal, La Belle Revue, World Policy Journal et WdW Review, entre autres publi­ca­tions et cata­lo­gues d’artis­tes.
    Elle a été bour­sière de l’American Institute for Maghrebi Studies, du Centre natio­nal des arts plas­ti­ques (Cnap), du French-American Cultural Exchange (FACE Foundation) et de la Jan van Eyck Academie. Diplômée du Center for Curatorial Studies du Bard College, elle est également titu­laire d’un doc­to­rat en his­toire de l’art moderne de l’Université de Columbia.
    Elle a obtenu en 2022 la bourse Andy Warhol Foundation Arts Writers Grant pour l’écriture sur l’art de cour­tes formes. Llorens tra­vaille actuel­le­ment en col­la­bo­ra­tion avec l’artiste Massinissa Selmani sur un projet de recher­che artis­ti­que de deux ans à propos ses "1 000 vil­la­ges socia­lis­tes", une ini­tia­tive d’urba­nisme lancée en Algérie au milieu des années 1970. La pre­mière expo­si­tion asso­ciée à ce projet sera inau­gu­rée à Alger à rhi­zome au prin­temps 2023.

    Jeudi 6 avril, à 13h
    Midi-deux : Visites flash de l’expo­si­tion, déjeu­ner à prix libre avec le Foodtruck soli­daire de Résoquartier et confé­rence de Salima Tenfiche, « Assia Djebar, pré­cur­seuse d’un cinéma des vivant·es »

    Les « Midi-deux » de Bétonsalon sont un évènement men­suel à l’atten­tion des étudiant·es : chaque pre­mier jeudi du mois, sur le temps de la pause déjeu­ner, l’équipe de Bétonsalon vous pro­pose un temps d’échange pri­vi­lé­gié au centre d’art autour des expo­si­tions !
    Jeudi 6 avril pro­fi­tez de la pause déj’ pour décou­vrir l’expo­si­tion « Hier revient et je l’entends » de Katia Kameli à l’occa­sion d’une visite flash (15 minu­tes max !) en com­pa­gnie de l’équipe du centre d’art ; béné­fi­ciez d’une res­tau­ra­tion de qua­lité à prix libre avec le Foodtruck de Résoquartier ; et à 13h, venez écouter la cher­cheuse Salima Tenfiche parler du cinéma algé­rien lors d’une confé­rence inti­tu­lée « Assia Djebar, pré­cur­seuse d’un cinéma des vivant·es ».

    Docteure en his­toire du cinéma de l’Université de Paris, Salima Tenfiche est ensei­gnante-cher­cheuse ATER à l’Université de Lorraine.

    Créée en 2011, Résoquartier est une asso­cia­tion d’habi­tant·es du 13ème arron­dis­se­ment enga­gé·es contre les injus­ti­ces économiques, socia­les et pour la tran­si­tion écologique. Elle y répond par l’entraide, la convi­via­lité et la soli­da­rité.

    Jeudi 13 avril, de 19h à 21h
    "Rihla", une his­toire illus­trée et com­men­tée du cinéma en Algérie
    Conférences de Nabil Djedouani, réa­li­sa­teur, acteur et cher­cheur, fon­da­teur des
    Archives Numériques du Cinéma Algérien

    Nabil Djedouani est un réa­li­sa­teur, acteur et cher­cheur. Après des études de cinéma à l’uni­ver­sité Louis Lumière de Lyon, il coréa­lise un film docu­men­taire avec Hassen Ferhani inti­tulé Afric Hôtel (2010). Il tra­vaille ensuite avec le cinéaste Rabah Ameur-Zaïmeche en tant qu’assis­tant réa­li­sa­teur et comé­dien pour les films Histoire de Judas (2015) et Terminal Sud (2019). En 2012, il crée le site des Archives Numériques du Cinéma Algérien pour mettre à la dis­po­si­tion de toutes et tous sur sa page Facebook et sa chaîne YouTube des œuvres ciné­ma­to­gra­phi­ques algé­rien­nes oubliées qu’il col­lecte et res­taure. Puis, il entame un tra­vail de recher­che et de dif­fu­sion autour des musi­ques d’expres­sion algé­rienne via la pla­te­forme Raï & Folk. Il réa­lise en 2019 un essai docu­men­taire inti­tulé Rock Against Police.

    Samedi 15 avril, de 17h à 18h
    Discussion avec Katia Kameli, Bérénice Saliou et Émilie Renard


    Événements passés

    Mercredi 18 jan­vier
    Ouvertures des expo­si­tions
    de 16h à 19h à Bétonsalon et
    de 18h à 21h à l’Institut des Cultures d’Islam, Paris

    Vendredi 20 jan­vier, de 19h à 20h20
    Visite avec Katia Kameli et Bérénice Saliou
    à l’ICI Léon

    Du lundi 23 jan­vier au jeudi 2 février, dans le hall des Grands Moulins bâti­ment A
    Programmation de courts-métra­ges pro­po­sée par l’asso­cia­tion étudiante Cinésept
    En par­te­na­riat avec le Pôle Culture d’Université Paris Cité

    Dans le cadre de l’expo­si­tion « Hier revient et je l’entends » de Katia Kameli, l’asso­cia­tion étudiante Cinésept pro­pose une sélec­tion de courts-métra­ges fai­sant écho aux recher­ches de l’artiste sur la place des images dans les mémoi­res indi­vi­duel­les et col­lec­ti­ves :

    • Ulysse, Agnès Varda (1983) - 22’03
    • Kwa Henri Mandima, Robert-Jan Lacombe (2010) - 10’30
    • [sic], Éric Baudelaire (2009) - 15’01
    • Dad’s Stick by John Smith (2012) - 5’

    Samedi 28 jan­­vier, de 14h30 à 17h30
    TaxiTram entre Bétonsalon et l’ICI, sur ins­­crip­­tion : taxi­­tram@­­tram-idf.fr
    Rendez-vous à Bétonsalon à 14h30, puis navette à l’ICI. Visite des deux expo­si­tions à deux voix : Katia Kameli avec Emilie Renard à Bétonsalon et avec Florence Marqueyrol à l’ICI

    Jeudi 2 février, de 13h à 14h
    Midi-deux : rendez-vous par et pour les étudiant·es
    Rencontre avec les étudiant·es de l’asso­cia­tion Cinésept en clô­ture de leur pro­gram­ma­tion de courts-métra­­ges pré­sen­tée en écho à l’expo­si­tion de Katia Kameli du 23 jan­vier au 2 février dans le hall des Grands Moulins, Bâtiment A, avec les films Ulysse d’Agnès Varda, Kwa Henri Mandima de Robert-Jan Lacombe, [sic] d’Éric Baudelaire et Dad’s Stick de John Smith

    Vendredi 17 février, de 15h à 18h
    Béton Book Club : séance d’arpen­tage col­lec­tif autour de l’ouvrage d’Edward Saïd, L’Orientalisme. L’Orient créé par l’Occident (1978)
    D’Eschyle à Kissinger, de Marx à Barrès, l’Occident a tenu un dis­cours sur l’Orient. Mais, puis­que « l’Orient » n’existe pas, d’où vient ce dis­cours et com­ment expli­quer son étonnante sta­bi­lité à tra­vers les âges et les idéo­lo­gies ? Cette séance d’arpen­tage sera consa­crée à la lec­ture col­lec­tive du livre du théo­ri­cien lit­té­raire pales­tino-amé­ri­cain et à son archéol­gie cri­ti­que du dis­cours sur l’Orient.

    Samedi 25 février, de 17h à 19h
    Rencontre autour de l’écriture ciné­ma­to­gra­phi­que d’Assia Djebar
    avec Marie Kondrat, cher­cheuse en lit­té­ra­ture com­pa­rée et ensei­gnante à l’Université de Genève. (Akila Kizzi, ensei­gnante cher­cheuse en études de genre à l’Université Paris 8, sera fina­le­ment absente)

    Marie Kondrat : Assia Djebar, le hors-champ de l’écriture
    Chercheuse en lit­té­ra­ture com­pa­rée, spé­cia­liste des théo­ries de l’image, Marie Kondrat ensei­gne à l’Université de Genève.
    Son ouvrage sur le concept d’hors-champ, en cours de publi­ca­tion, a été lau­réat du Prix Barbour en cri­ti­que lit­té­raire et esthé­ti­que et du Prix Latsis Universitaire 2022.
    Elle écrit en fran­çais, ukrai­nien et anglais, elle lit en ita­lien et russe.
    Son projet de recher­che actuel porte sur les femmes ayant une double acti­vité, de cinéaste et d’écrivaine.

    Akila Kizzi : L’Histoire des femmes algé­rien­nes comme matrice de l’œuvre et de la pensée d’Assia Djebar
    Akila Kizzi est ensei­gnante cher­cheuse en études de genre à l’Université Paris 8. Elle est spé­cia­liste des ques­tions de genre en Afrique du Nord.
    Ses recher­ches trai­tent de la ques­tion de la réha­bi­li­ta­tion des figu­res de femmes oubliées par l’Histoire col­lec­tive, qu’elles soient femmes poli­ti­ques, artis­tes ou écrivaines en Afrique du Nord.
    Ses recher­ches ten­dent à cons­truire une généa­lo­gie intel­lec­tuelle de femmes en médi­ter­ra­née du sud.
    Elle a publié chez Fauves éditions une mono­gra­phie sur la vie et l‘œuvre de Taos Amrouche, inti­tu­lée : Passions et déchi­re­ments iden­ti­tai­res chez Marie-Louise Taos Amrouche. Une autre publi­ca­tion à la British Academy qui porte sur les artis­tes Baya Mahieddine et Taos Amrouche, inti­tu­lée : Under the skin : Feminist art from the middle east and north africa today.

    Samedi 18 mars, de 17h à 20h
    La Nouba des femmes du mont Chenoua d’Assia Djebar, 1977
    Projection suivie d’une dis­cus­sion avec Katia Kameli et Ahmed Bedjaoui, pro­duc­teur du film

    Titulaire d’un Doctorat en lit­té­ra­ture, Ahmed Bedjaoui est jour­na­liste, pro­duc­teur et pro­fes­seur de com­mu­ni­ca­tion de l’Université Alger 3.
    Lauréat de « l’Institut des Hautes Etudes Cinématographiques » (IDHEC - Paris), il est direc­teur artis­ti­que du fes­ti­val du film engagé d’Alger, et Président du Fonds d’aide au cinéma algé­rien.Il a pro­duit et pré­senté l’émission « Télécinéclub », dif­fu­sée pen­dant 20 ans, sur la chaîne natio­nale algé­rienne et pro­duit pour elle envi­ron 76 longs métra­ges, dont notam­ment les deux films d’Assia Djebar, Nahla de Farouk Beloufa, ou encore Combien je vous aime de Azeddine Meddour.
    Ahmed Bedjaoui a publié des dizai­nes d’arti­cles parus dans des revues inter­na­tio­na­les et des jour­naux algé­riens. Il est l’auteur de cinq ouvra­ges dont : Cinéma et lit­té­ra­tu­res arabes, Le cinéma à son âge d’or, paru en novem­bre 2018 et plus récem­ment Cinema and Algerian War of Independence.
    En 2015, l’UNESCO lui décence la médaille Federico Fellini pour sa contri­bu­tion à la culture ciné­ma­to­gra­phi­que mon­diale. En 2019, il pré­side le jury de fic­tion lors du cin­quan­tième anni­ver­saire du FESPACO.

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    En cours